Des chercheurs malaisiens révèlent que les punaises de lit peuvent conserver de l’ADN humain jusqu’à 45 jours après un repas sanguin, ouvrant de nouvelles perspectives en police scientifique.
Là où la recherche de sperme est mise en échec, le sexome, encore appelé microbiome génital, pourrait prendre le relais et devenir un outil complémentaire, voire déterminant.